Docteur Jazz - Barry Harris
- Jean Arnautou
- 22//2/30/0
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Docteur Jazz - The Bird on the Big Apple
- Jean Arnautou
- 22//2/28/0
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Clark Terry, l’indépassable (Episode 1)
Pour évoquer le trompettiste-prodige aux 902 séances d’enregistrement, Dr Jazz invite l’un de ses meilleurs disciples, le bordelais François Biensan : percussionniste à ses débuts (il fut, comme Bernard Lubat l’élève de Jean Courtioux au Conservatoire), devenu à Paris l’un des spécialistes les plus recherchés de la trompette mainstream, chef d’un orchestre – Ellingtomania – consacré à la musique du Duke (et dont le batteur fut un temps l’ellingtonien Sam Woodyard), compositeur et arrangeur (y compris pour Ray Charles), François Biensan a bien connu Clark Terry avec lequel il a joué à plusieurs reprises, et notamment sur la scène de Marciac. Tout au long de quatre podcasts à retrouver sur radiochubordeaux.fr, et autour d’un choix d’enregistrements qui enjambent près de six décennies (1947-2003), il évoque pour nous l’un des plus indiscutables géants du Jazz.
- Dr Jazz & François Biensan
- 22//2/27/0
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Docteur Jazz - The Bird in Kansas City Here I Come
- Jean Arnautou
- 22//2/25/0
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Docteur Jazz - Humour & Jazz (Episode 2)
- Jean Arnautou
- 22//2/22/0
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Docteur Jazz - Improvisations
- Jean Arnautou
- 22//2/22/0
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Docteur Jazz & François Biensan - Clark Terry, l’indépassable (Episode 4)
- Docteur Jazz & François Biensan
- 22//2/21/1
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Docteur Jazz & François Biensan - Clark Terry, l’indépassable (Episode 3)
- Jean Arnautou & François Biensan
- 22//2/15/1
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Docteur Jazz - Hommage aux Jazz Women 1/2
Dans cet épisode, le Doc rend hommage aux Jazz Women !
- Ce sont depuis les origines, l’une des forces vives de cette musique qui a tourné le dos au préjugé du genre comme à celui de la race : c’est ainsi que le premier disque enregistré par des noirs américains fait entendre une star de l’époque (1920), la chanteuse Mamie Smith, accompagnée par ses « Jazz Hounds ». Car dans un premier temps, ces dames s’expriment surtout par la voix, qu’elles ont très expressive, justement ! Notre première partie présente donc « De sacrées chanteuses, accompagnées par de sacrés musiciens » :
- Ella Fitzgerald en concert « Jazz At The Philarmonic » à Amsterdam en 1958, paraphrasant très exactement le titre d’un standard fameux de Duke Ellington (It don’t mean a thing if it ain’t got that swing) avec le soutien ultra-dynamique du trio d’Oscar Peterson (piano) enrichi de Stuff Smith (violon) et Roy Eldridge (trompette).
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- Mahalia Jackson en 1970, qui entraîne Louis Armstrong (vocal) et tous les musiciens présents ce soir-là au Festival de Newport à la suivre sur la route du Gospel dans Just a little walk with Thee.
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- Aretha Franklin de passage au Fillmore de San Francisco (1971) où elle est rejointe à l’improviste par Ray Charles (piano, vocal) qu’elle entraîne dans une version fiévreuse de son Spirit in the dark, « portée » par l’orchestre de King Curtis (saxo ténor) et notamment son batteur Bernard Purdie.
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- Chaka Khan en concert à Montreux (1991) : une reine de la Soul qui rivalise d’énergie avec George Benson (guitare, vocal) pour dynamiter son propre tube, This Masquerade, avec la complicité de Ray Charles (piano, vocal).
- Jean Arnautou
- 21//2/15/1
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Episode 2 - Clark Terry, l’indépassable
- Docteur Jazz & François Biensan
- 22//2/10/1
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Emission spéciale Gospel
Dans cet épisode, le doc rend hommage au Gospel !
- Jean Arnautou
- 23//2/04/0
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Humour & Jazz (Episode 1)
- Jean Arnautou
- 22//2/02/0
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Docteur Jazz - Hommage aux Jazz Women 2/2
Dans cet épisode, le doc rend hommage aux Jazz Women !
Mais, et c’est moins connu, dès les débuts du Jazz, ces dames vont aussi pratiquer un instrument, volontiers le piano, Et l’on va voir en deuxième partie qu’à l’image de Lil Hardin – la première partenaire de Louis Armstrong, sur la scène comme à la ville, « Non seulement elles jouent - bien - mais en plus elles composent ! »
- Rhoda Scott, qui fusionne avec bonheur (en 2005) le très classique Prélude en Si bémol majeur de J.S. Bach avec une version ultra-convaincante du Preacher d’Horace Silver, le tout joué…pieds nus, ce qui ne va pas de soi lorsqu’il s’agit de swinguer le pédalier d’un orgue Hammond !
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- Stephanie Trick, enregistrée à son domicile en 2010, qui démontre avec brio qu’une frêle jeune femme de 23 ans peut maîtriser – dans ces Troublesome Ivories du grand Eubie Blake - le styles de piano le plus musclé – et en même temps le plus délicat - que le Jazz ait connu : le « stride ».
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- Sister Rosetta Tharpe, étoile du Gospel mais aussi guitariste époustouflante - « La marraine du Rock’n Roll » - qui aurait influencé notamment Chuck Berry ! En concert à Paris avec Jeannette Kimball au piano (1964) elle montre l’ampleur de son talent dans Up above my head.
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- Mary-Lou Williams, ex-vedette du Big Band d’Andy Kirk, qui a composé ce Praise the Lord (1963) et dirige de son piano un orchestre où Budd Johnson (saxo téno)
- Jean Arnautou
- 21//2/01/1
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